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Ramadan

En photos : La vie à Ramadi retourne à la normale

Par Diyaruna

Une mère fait les courses avec ses enfants dans un marché à Ramadi. Les femmes sous le règne de "l'Etat islamique en Irak et au Levant" étaient forcées à couvrir leurs visages avec des niqabs et les hommes devaient faire pousser les barbes. [Saif Ahmed/Diyaruna]

Une mère fait les courses avec ses enfants dans un marché à Ramadi. Les femmes sous le règne de "l'Etat islamique en Irak et au Levant" étaient forcées à couvrir leurs visages avec des niqabs et les hommes devaient faire pousser les barbes. [Saif Ahmed/Diyaruna]

Un officier de police dirige la circulation à Ramadi. Les résidents retournent à la ville en grand nombre depuis sa libération de "l'Etat islamique en Irak et au Levant" en décembre 2015. [Saif Ahmed/Diyaruna]

Un officier de police dirige la circulation à Ramadi. Les résidents retournent à la ville en grand nombre depuis sa libération de "l'Etat islamique en Irak et au Levant" en décembre 2015. [Saif Ahmed/Diyaruna]

Un vendeur ambulant vend les jouets à Ramadi. [Saif Ahmed/Diyaruna]

Un vendeur ambulant vend les jouets à Ramadi. [Saif Ahmed/Diyaruna]

Les résidents de Ramadi font les courses librement après l'expulsion de "l'Etat islamique en Irak et au Levant" de la ville. [Saif Ahmed/Diyaruna]

Les résidents de Ramadi font les courses librement après l'expulsion de "l'Etat islamique en Irak et au Levant" de la ville. [Saif Ahmed/Diyaruna]

Les forces irakiennes sécurisent l'ouest de l'Anbar après avoir vaincu "l'Etat islamique en Irak et au Levant". [Saif Ahmed/Diyaruna]

Les forces irakiennes sécurisent l'ouest de l'Anbar après avoir vaincu "l'Etat islamique en Irak et au Levant". [Saif Ahmed/Diyaruna]

Une équipe de nettoyage dans le quartier Atibaa à Ramadi débarrasse les débris du côté de la route avec la réouverture des marchés pour les résidents. [Saif Ahmed/Diyaruna]

Une équipe de nettoyage dans le quartier Atibaa à Ramadi débarrasse les débris du côté de la route avec la réouverture des marchés pour les résidents. [Saif Ahmed/Diyaruna]

La Grande Mosquée de Ramadi. Les mosquées dans la ville étaient utilisées pour inciter à la violence et la haine lorsqu'elles étaient contrôlées par "l'Etat islamique en Irak et au Levant". [Saif Ahmed/Diyaruna]

La Grande Mosquée de Ramadi. Les mosquées dans la ville étaient utilisées pour inciter à la violence et la haine lorsqu'elles étaient contrôlées par "l'Etat islamique en Irak et au Levant". [Saif Ahmed/Diyaruna]

De jeunes hommes font les courses dans un marché à Ramadi. "L'Etat islamique en Irak et au Levant" a forcé les hommes à faire pousser les barbes et adhérer aux codes vestimentaires islamiques sous son règne. [Saif Ahmed/Diyaruna]

De jeunes hommes font les courses dans un marché à Ramadi. "L'Etat islamique en Irak et au Levant" a forcé les hommes à faire pousser les barbes et adhérer aux codes vestimentaires islamiques sous son règne. [Saif Ahmed/Diyaruna]

Des vêtements multicolores exposés sur les mannequins remplissent à nouveau les boutiques de Ramadi. [Saif Ahmed/Diyaruna]

Des vêtements multicolores exposés sur les mannequins remplissent à nouveau les boutiques de Ramadi. [Saif Ahmed/Diyaruna]

Les marchés revitalisés de Ramadi bourdonnent à nouveau d'activité. [Saif Ahmed/Diyaruna]

Les marchés revitalisés de Ramadi bourdonnent à nouveau d'activité. [Saif Ahmed/Diyaruna]

L'agent de la circulation à Ramadi Mohammed Obaid al-Thiyabi a repris son travail pour diriger la circulation à la capitale provinciale de l'Anbar après sa libération de "l'Etat islamique en Irak et au Levant". [Saif Ahmed/Diyaruna]

L'agent de la circulation à Ramadi Mohammed Obaid al-Thiyabi a repris son travail pour diriger la circulation à la capitale provinciale de l'Anbar après sa libération de "l'Etat islamique en Irak et au Levant". [Saif Ahmed/Diyaruna]

Photos de Ramadi, capitale de la province de l'Anbar, montrent que la vie retournent à la normale dans la ville. Près d'une année après sa libération de "l'Etat islamique en Irak et au Levant" (EIIL), les marchés revitalisés de Ramadi bourdonnent d'activité à nouveau.

Les résidents déplacés continuent à retourner à leurs maisons en masse depuis que les forces irakiennes ont libéré la majorité de la ville de l'EIIL décembre dernier. Environ 80% d'entre eux sont retournésau milieu desefforts continus des départements de services à fournir aux résidents l'électricité, l'eau et les services d'égouts. .

Sous le règne de l'EIIL, les femmes n'étaient pas autorisées à quitter leurs maisons sans un compagnon mâle et les hommes étaient forcer à faire pousser les barbes et adhérer aux codes vestimentaires islamiques. Le groupe imposait ses propres programmes scolaires renforcés par l'idéologie violente , et par conséquent, beaucoup de parents refusaient d'envoyer leurs enfants à l'école.

Les enfants retournent maintenant à l'école, pendant quel'université de l'Anbar a repris les cours cet automne.

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