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Les kurdes syriens critiquent les 'menaces' de Damas

Les kurdes syriens critiquent le « langage menaçant » du régime de Damas après qu'il a promis de reprendre les zones au nord-est qu'ils contrôlent par la réconciliation ou par la force, a rapporté l'AFP mardi 19 mars.

La minorité est largement restée loin de la guerre en Syrie, se forgeant au lieu de cela une région autonome à travers un grand territoire au nord et nord-est de la Syrie.

Cette région est détenue par les Forces démocratiques syriennes menées par les kurdes qui combattent « l’État islamique en Irak et en Syrie » (EIIS) avec l'appui de la coalition internationale.

Le ministre syrien de la Défense Ali Abdullah Ayoub a indiqué lundi que son gouvernement reprendrait toutes les zones détenues par les FDS « dans l'une des manière suivante : un accord de réconciliation ou... par la force ».

Dans une déclaration lundi soir, l'administration semi-autonome a critiqué ses commentaires.

« La déclaration du ministre de la Défense concernant les FDS... reflète la continuation de la politique raciste et stérile qui a mené la Syrie à cette situation désastreuse», a-t-elle affirmé dans un communiqué.

« L'utilisation du langage menaçant contre les FDS qui ont libéré et protégé le nord et l'est de la Syrie des terroristes sert seulement ces forces qui œuvrent pour diviser la Syrie», a-t-il affirmé.

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Les Kurdes ont toujours tendu leurs mains vers les étrangers comme des mercenaires, qu'ils soient en Iran, en Irak, en Syrie, et en Turquie. Ils œuvrent maintenant vers le séparatisme; mais ils connaissent très bien qu'ils ne peuvent rien faire. Ce qu'ils font est dans l'intérêt d'Israël et les États-Unis. Assez d'être mercenaires! Cela était comme cela pendant longtemps. Ils n'ont jamais eu l'unité et se battent toujours, se disputent et se plaignent car ils n'ont pas un grand chef. Chacun d'eux joue à son propre rythme. Ils cherchent refuge auprès des ennemis de l'Islam contre leurs propres gouvernements.

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