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Le nouvel envoyé souligne le besoin d'une solution appuyée par l'ONU pour la guerre en Syrie

Le nouvel envoyé de l'ONU en Syrie a achevé sa première visite au pays déchiré par la guerre jeudi 17 janvier, soulignant le besoin d'une solution politique négociée par l'ONU au conflit de huit ans.

Geir Pedersen, un diplomate norvégien assaisonné, a terminé sa visite de trois jours et s'est dirigé la capitale libanaise de Beyrouth, a indiqué une source de l'ONU à l'AFP.

Le nouvel envoyé a publié plus tard mercredi sur Twitter qu'il a eu un « entretien constructif » avec le ministre des Affaires étrangères Walid Muallem pendant son séjour à Damas.

Lors de la réunion, il a souligné le besoin d'une solution « appartenant et menée par la Syrie et facilitée par l'ONU, » a-t-il ajouté.

Pedersen, qui a commencé son nouveau travail la semaine dernière, est le quatrième envoyé de l'ONU à chercher une solution au conflit en Syrie, après des tournées interminables de pourparlers de paix échouées menées par l'ONU.

Après Damas, Pederson a indiqué qu'il partirait pour rencontrer le Comité de négociations syriens, le principal groupe de l'opposition en Syrie.

Mais il a « accepté de retourner à Damas régulièrement pour discuter des aspects communs et le progrès sur des points de désaccord», a-t-il ajouté.

Mardi, Muallem a exprimé « la disponibilité (de la Syrie) à coopérer avec lui... dans sa mission pour faciliter le dialogue syrien-syrien dans le but de trouver une solution politique à la crise syrienne », a indiqué un communiqué du ministère des affaires étrangères.

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